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 (arthur) à perdre la raison

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Arthur Grenwood
Arthur Grenwood
i walked with you once upon a dream
Date d'inscription : 23/08/2015

Messages : 110

Points : 0

avatar : taron egerton

crédit : primbird & tumblr

double compte : percy calloway, le marchand de sable et harper jefferson la chenille bleue.


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ce conte a été posté le Ven 15 Jan - 19:56

arthur grenwood
lancelot - le roi arthur

je reste dans le coeur des hommes
nom(s) ; Dans ce monde son nom de famille est Grenwood, il se demande encore pourquoi.
prénom(s) ; Un crétin a décidé de l'appeler Arthur, le prénom de son meilleur ami et aussi pire ennemi.
âge ; sans doute des centaines d'années, mais en apparence il a vingt-sept ans.
date et lieu de naissance ; né dans le château de son père non loin de la forêt de brocéliande il y a de ça très longtemps.
nationalité(s) ; breton
origine(s) ; bretonnes
orientation sexuelle ; hétérosexuel
statut civil ; éperdue d'une demoiselle pas libre.
statut financier ; chevalier ça gagnait bien quand même. Professeur d'escrime beaucoup moins.
crédits ; electric bird (avatar), theouatgifs.tumblr (gif)
une liste d'au moins cinq anecdotes qui sont développées sur le personnage.
01. tics, anecdotes ou manies du personnages.02. tics, anecdotes ou manies du personnages. 03. tics, anecdotes ou manies du personnages.04. tics, anecdotes ou manies du personnages. 05. tics, anecdotes ou manies du personnages.06. tics, anecdotes ou manies du personnages. 07. tics, anecdotes ou manies du personnages.08. tics, anecdotes ou manies du personnages. 09. tics, anecdotes ou manies du personnages.10. tics, anecdotes ou manies du personnages.
question numéro un ; écrire ici.
question numéro deux ; écrire ici.
question numéro trois; écrire ici.
question numéro quatre ; écrire ici.
pseudo; écrire ici.
âge ; écrire ici.
où as-tu trouvé le forum ; écrire ici.
tes impression dessus ; écrire ici.
avatar ; écrire ici.
une dernière chose à dire ; écrire ici.
code à remplir ;
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Dernière édition par Arthur Grenwood le Dim 17 Jan - 19:25, édité 3 fois
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Arthur Grenwood
Arthur Grenwood
i walked with you once upon a dream
Date d'inscription : 23/08/2015

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avatar : taron egerton

crédit : primbird & tumblr

double compte : percy calloway, le marchand de sable et harper jefferson la chenille bleue.


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ce conte a été posté le Ven 15 Jan - 19:57

titre de la partie.
citation, paroles de chanson


époque arthurienne.
« Plus tard nous nous marierons. » Je la regardais, ses cheveux au vent. Je me promenais dans les jardins du château en compagnie de la fille du roi... . Dès que je l'avais vu je l'avais trouvé tout simplement magnifique. Elle était d'une beauté saisissante. Je n'avais que douze ans et pourtant je savais que c'était elle, la femme de ma vie, celle qui allait me faire tourner la tête. Elle riait de son rire cristallin. « Comment peux-tu en être si sûr ? Nous ne savons pas de ce que le passé est fait. » Elle avait une voix douce et des yeux en amandes qui me subjuguaient. Nous marchions dans le jardin principal et je lui tenais le bras comme le bon prince que j'étais. « Je le lis dans les étoiles. » Fis-je avec un léger sourire. « Oh. Mais tu sais que les étoiles peuvent dire des choses différentes tous les jours ? » je l'observais d'un regard espiègle et nous continuons tranquillement notre balade pendant une heure avant de rentrer au château. Son père me proposa de rester mais je refusais. Je n'étais pas libre. Je ne pouvais pas dormir chez un roi de cette façon. Je lui fis une révérence avant de me retirer. « Elle est charmante. » Fis-je en marmonnant à moi-même et en marchant dans la forêt de Brocéliande. Les branches craquèrent sur mon passage et je regardais vers le haut. Ce fut à ce moment-là que j'entendis une voix. « Mais elle n'est pas libre et elle ne le sera jamais, résigne-toi. » Je m'étais arrêté un instant. Je n'avais pas compris d'où venait cette vois et je m'approchais du lac avant de me laisser tomber devant. Ce lac était tout pour moi, je m'y sentais comme à la maison. Dès que je fermais les yeux je me sentais apaisé.

« Lancelot. » Je me retournais vers Arthur qui avait descendu les marches de son château avec quelques-uns de nos acolytes. Cela faisait quelques mois que j'avais rejoins la célèbre Table Ronde. Un grand privilège. Je maniais avec perfection l'épée et j'étais heureux de pouvoir servir notre cher roi. « Nous devons partir pour une quête et je voudrais que tu surveilles ma femme s'il te plait. Veilles à ce qu'il ne lui arrive rien. » On lui apportait son cheval et il se préparait à le monter. Sur le coup je me sentis un peu rancunier. Je rêvais depuis longtemps de partir dans une de ces quêtes et mon jeune statut ne me le permettait pas. Arthur me sourit et je lui souris à mon tour bien que sur le coup je me sentais en colère. « Tu en as la responsabilité, et si jamais il arrivait quelque chose tu connais le sort. » J'avalais difficilement ma salive, bien entendu que je savais le sort qui était réservé à celui qui fautait. J'avais mal à la gorge rien que d'imaginer ma tête tranchée. La cavalerie parti et je me retrouvais à l'extérieur en soupirant. Rester au château pendant toute la quête n'était pas mal, mais m'occuper d'une femme. Je pris la direction du jardin. On m'avait averti que la reine  y était. Il faudrait au moins que je me présente, je n'avais pas eu le temps pour ça.  En arrivant je fis une révérence. « Majesté, c'est avec plaisir que je vais vous servir en l'absence du Roi. Lancelot pour vous servir. » En me relevant je fus saisi d'un éclair, de la foudre qui parcourait mon corps. Comment ne pas la reconnaître ? C'était elle. Juste devant moi. « Guenièvre. » Elle fronçait les sourcils. « Reine Guenièvre à présent. Je vous prie. » Elle avait toujours cette voix douce et apaisante. Guenièvre. Je ne l'avais jamais oublié. Mon cœur se brisait un peu, elle était à présent l'épouse d'Arthur.

Arthur avait tout. Je jalousais Arthur. C'était incroyable comme mon admiration pour lui avait viré en jalousie qui me grignotait l'âme petit à petit. J'étais assis à la Table Ronde alors qu'il discutait, Excalibur près de lui. Excalibur. Cette épée qui lui avait tout donné. Peu de gens le savait mais j'avais moi-même essayé de la tirer hors de ce rocher. Je n'y étais pas arrivé. Je me demandais ce qu'avait Arthur de plus que moi je n'avais pas là. J'observais cette épée en la jalousant. Je riais intérieurement en pensant que je me tapais son épouse. Il n'était pas si parfait le Roi Arthur, le très cher Roi Arthur. Oh non, moi je passais du bon temps avec Guenièvre. « Bien. C'est tout pour aujourd'hui. » Chacun se leva et j'en fis de même. « Lancelot. Je voudrais te dire un mot. » Je fus assez surpris pour le coup et à un moment donné la terreur s'empara de moi : avais-je pensé trop fort ? Est-ce qu'il savait ? Je m'approchais de lui. « Je voulais te demander ça à titre personnel. Est-ce que pendant mes voyages ma femme voit quelqu'un ? » J'avais envie de rire, de lui rire au nez que oui en effet et que c'était moi. Puis je pensais à ma gorge, c'était bien trop bête de mourir pour de la fierté mal placée. Puis, j'aimais Guenièvre, je l'aimais éperdument. « Non. Du moins je ne suis pas au courant. Pourquoi ? Tu penses qu'elle a quelqu'un ? Allons Arthur, elle ne te ferait pas ça ! » Il ne répondit pas, se terrant dans son silence. Il me regarda en fronçant les sourcils avant de soupirer. « Peut-être que tu as raison, peut-être que je me fais des idées sur le fait qu'elle soit distante. » Je lui fis un sourire amical puis je sortis de la salle en me remerciant moi-même de jouer si bien la comédie.
Ma petite comédie continuait un temps jusqu'à ce fameux jour. Guenièvre m'avait rejoint en cachette et elle avait un visage assez grave. Je me levais pour lui déposer un doux baiser mais elle me repoussa. Je lui pris la main. « Qu'est ce qu'il y a ? » « Je ne peux plus te voir. » « Pourquoi ? » Lui demandais-je avant de déposer un baiser au creux de son cou mais elle me repoussa de nouveau. « Arthur, il se doute de quelque chose ! » « Arthur est trop idiot pour voir devant son nez. » Je me mis à rire légèrement mais je voyais que je l'avais vexé. « Oh Guenièvre, tu le sais aussi bien que moi que c'est moi que tu aimes. » Elle avait toujours cet air de colère au visage. « Je suis enceinte. » Ca, je ne m'y attendais pas du tout et au vue de mon visage cela se voyait que j'étais carrément surpris. Il était de moi. Il ne fallait pas être sorcier pour comprendre, elle m'avait bien dit qu'elle avait pris ses distances avec Arthur depuis quelques temps. De toute manière, je devais être meilleur que lui de ce point de vue là. Je l'observais, attendant qu'elle me dise que c'était une plaisanterie mais non. « Attends, tu dis que tu es enceinte et que tu ne veux plus me voir ? » « J’élèverai l'enfant comme si c'était celui d’Arthur. » Non. Non. Non je n'étais pas d'accord. Mes joues se mirent à rougirent de colère. « Hors de question ! Hors de question que Arthur élève mon fils ! » « Tu n'avais qu'à être Roi, Lancelot. » Je restais bouche bée alors qu'elle quittait ma petite demeure et qu'elle partit. Cela m'estomaquait. C'était bas comme coup. Arthur était beau. Arthur était fort. Arthur était ROI. Il ne fallait pas me le dire un million de fois j'avais bien compris. J'étais furieux, en colère et surtout je voyais la chaire de ma chaire partir loin de moi. Alors, dans un élan de colère j'avais pris mes affaires et mon cheval pour galoper dans la nature. Ma promenade m'envoyait à Brocéliande et je fis quelque chose que je n'aurai jamais cru. Il ne m'avait pas fallu longtemps pour rentrer dans cette demeure et voir ce grimoire qui me disait de le prendre. Par ce livre je pouvais tout changer. Toute la destinée. Faire de Arthur un pauvre qui allait galérer dans une ferme, et faire de moi le Roi et épouse de Guenièvre. Mes yeux brillaient de revanche et j'ouvris le grimoire avant d'entendre une voix derrière moi. « Pose ça de suite. » Cette voix faisait peur à tout le monde et en me retournant je fis face à lui. SA barbe grise et ses yeux perçants. Il était encore plus terrifiant en vrai. « Non. » C’était sortit tout seul. « Je ne peux plus le supporter. Je ne peux plus le voir avec la femme que j'aime. » « Pose ce grimoire. » « POURQUOI VOUS AVEZ DECIDE QUE C'ETAIT ARTHUR QUI DELIVRERAIT EXCALIBUR ?! POURQUOI CE NE FUT PAS MOI ?! » Il s'approcha de moi et je restais statique. Il était vraiment imposant. Il me prit le livre des mains et je sentais ma solution s'échapper. « Parce qu'Arthur est plus digne que toi. » Je restais bouche bée par cette réponse aussi cinglante. Sur le coup, j'avais même envie de pleurer. « Tu n'es pas aussi loyal que lui, et tu n'auras jamais sa prestance. » Il n'avait pas fallu longtemps pour qu'il rajoute que je devais partir d'ici, je ne mis pas longtemps non plus à quitter la demeure et à reprendre mon cheval. Je trouverai une autre solution mais les mots de Merlin résonnèrent dans ma tête.

à l'heure actuelle.

Je courrais sous la pluie. Evacuer la pression me faisait du bien. Je n'avais pas de cheval, je ne pouvais pas aller me promener dans les parages. Je détestais ce pays. Il faisait moche et froid. Déjà que la Bretagne n'était pas fameuse mais là c'était encore pire. J'étais sans cesse trempé. Le monde était devenu bizarre. Nous étions dans une petite ville et la plupart des gens n'avaient pas l'air de savoir ce qui se passait. J'avais croisé Arthur. Il me prenait pour son meilleur ami et m'appelait... Arthur. Au début je me suis demandé s'il était tombé sur la tête mais non. Il avait une ravissante épouse qui était Guenièvre – enfin ici elle s'appelait Diane. Même dans ce monde j'étais perdant. J'essayais de courir d'avantage pour me sortir toutes mes idées de la tête. « Lancelot ! » J'avais failli m'arrêter. Si je m'arrêtais je signais mon arrêt de mort alors que je continuais comme si je n'avais rien entendu surtout que cette voix me donnait des frissons. « Arthur. » Je m'arrêtais et je me retournais pour faire face à un vieil homme grisonnant. « Oui ? Monsieur ? » Je souriais, innocemment. Merlin fronçait les sourcils – il avait beau ne plus avoir sa barbe je reconnaîtrai toujours ses yeux perçants. Il me contemplait un moment en fronçant les sourcils. Depuis quelques jours il me tournait autour. C'était lui l'auteur de tout ça, j'en étais persuadé. Il avait fait tout ça pour me punir. Il avait fait en sorte qu'on m'appelle Arthur et je me doutais que ça le faisait bien rire. Sadique. Il ne répondit rien et partit. Il était vraiment bizarre par moment. Je me remis à courir pour arriver au centre-ville où je vis Diane qui était en train de faire quelques courses. Je m'arrêtais derrière elle en lui déposant un baiser dans le creux de son coup. Elle me repoussa. « Arrête, on pourrait nous voir. » « Je vous aime tous les deux. » Je posais mes mains sur son ventre avant de déposer un baiser sur sa joue. « Nous deux ? » Je me rendis compte qu'à la base, ici je ne devais pas être au courant. J'avais déjà la chance qu'elle reste celle que j'aime et là je venais de révéler sa grossesse alors qu'elle n'avait fait comme si de rien n'était. Elle se retournait pour me faire face. « Comment tu es au courant ? » Elle fronçait les sourcils. Je réfléchissais rapidement. « ...tu es toujours de mauvaise humeur en ce moment et... » J'essayais de me débattre tant bien que mal avec mes paroles mais elle me regardait d'un air suspicieux. « Jules tu as fini ! » Un sourire vint se dessiner sur le visage de Diane avant qu'il ne vienne l'embrasser. Je roulais des yeux. « Ca fait longtemps que tu n'es pas venu manger à l'appartement Arthur ! Je ne te vois plus ! A croire que tu m'évites ! » Je me mis à rire légèrement. « Non c'est juste que j'ai beaucoup de cours à donner. » Mensonge. Pur mensonge. « Pourquoi ne pas venir en fin de semaine ? » « Je te redirai ça. Désolé je dois filer, il faut que j'aille voir quelqu'un. » Je ne lui laissais même pas le temps d'ouvrir la bouche que je fila. Il m'énerve. Je le détestais. Il fallait que je récupère Diane. Hors de question que mon môme grandisse avec ce crétin. Je sentis un regard sur moi. Je devais rester calme, ne rien montrer sinon il y en a un qui allait me foudroyer sur place.
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