arthur grenwood ; ft. taron egerton
amant. A Camelot, ils étaient les amants terribles. Ne pouvant pas se passer de l'un et de l'autre, ils ont souvent consumé leur amour derrière le dos d'Arthur qui pensait naïvement que Lancelot ne faisait que protéger sa femme. Leur idylle a duré un bon moment, Arthur a commencé à avoir des doutes. Voyant son mari suspecter quelque chose, Guenièvre a préféré avertir Lancelot qu'elle arrêtait cette liaison et qu'elle était enceinte de lui. Sauf, qu'elle préfère que le bébé soit élevé par Arthur qui rêve de descendance. Complètement invraisemblable et infaisable pour lui, Lancelot a vu rouge, jalousant de plus en plus Arthur il a tenté de jeter un sort mais en a été empêché par Merlin. Merlin a puni tout le monde pour la cupidité de Lancelot. Actuellement Arthur (Lancelot) est le seul à se souvenir de tout mais fait par moment mine de rien comprendre. Diane et Jules ne sont au courant de rien. Diane est enceinte et se pose beaucoup de question sur son avenir avec Arthur, se demandant s'il ne serait pas préférable de faire passer le bébé pour celui de Jules même si son poste de maire lui prend énormément de temps.
Extraits de ma fiche.époque arthurienne.« Plus tard nous nous marierons. » Je la regardais, ses cheveux au vent. Je me promenais dans les jardins du château en compagnie de la fille du roi... . Dès que je l'avais vu je l'avais trouvé tout simplement magnifique. Elle était d'une beauté saisissante. Je n'avais que douze ans et pourtant je savais que c'était elle, la femme de ma vie, celle qui allait me faire tourner la tête. Elle riait de son rire cristallin.
« Comment peux-tu en être si sûr ? Nous ne savons pas de ce que le passé est fait. » Elle avait une voix douce et des yeux en amandes qui me subjuguaient. Nous marchions dans le jardin principal et je lui tenais le bras comme le bon prince que j'étais.
« Je le lis dans les étoiles. » Fis-je avec un léger sourire.
« Oh. Mais tu sais que les étoiles peuvent dire des choses différentes tous les jours ? » je l'observais d'un regard espiègle et nous continuons tranquillement notre balade pendant une heure avant de rentrer au château. Son père me proposa de rester mais je refusais. Je n'étais pas libre. Je ne pouvais pas dormir chez un roi de cette façon. Je lui fis une révérence avant de me retirer.
« Elle est charmante. » Fis-je en marmonnant à moi-même et en marchant dans la forêt de Brocéliande. Les branches craquèrent sur mon passage et je regardais vers le haut. Ce fut à ce moment-là que j'entendis une voix.
« Mais elle n'est pas libre et elle ne le sera jamais, résigne-toi. » Je m'étais arrêté un instant. Je n'avais pas compris d'où venait cette vois et je m'approchais du lac avant de me laisser tomber devant. Ce lac était tout pour moi, je m'y sentais comme à la maison. Dès que je fermais les yeux je me sentais apaisé.
Ma petite comédie continuait un temps jusqu'à ce fameux jour. Guenièvre m'avait rejoint en cachette et elle avait un visage assez grave. Je me levais pour lui déposer un doux baiser mais elle me repoussa. Je lui pris la main.
« Qu'est ce qu'il y a ? » « Je ne peux plus te voir. » « Pourquoi ? » Lui demandais-je avant de déposer un baiser au creux de son cou mais elle me repoussa de nouveau.
« Arthur, il se doute de quelque chose ! » « Arthur est trop idiot pour voir devant son nez. » Je me mis à rire légèrement mais je voyais que je l'avais vexé.
« Oh Guenièvre, tu le sais aussi bien que moi que c'est moi que tu aimes. » Elle avait toujours cet air de colère au visage.
« Je suis enceinte. » Ca, je ne m'y attendais pas du tout et au vue de mon visage cela se voyait que j'étais carrément surpris. Il était de moi. Il ne fallait pas être sorcier pour comprendre, elle m'avait bien dit qu'elle avait pris ses distances avec Arthur depuis quelques temps. De toute manière, je devais être meilleur que lui de ce point de vue là. Je l'observais, attendant qu'elle me dise que c'était une plaisanterie mais non.
« Attends, tu dis que tu es enceinte et que tu ne veux plus me voir ? » « J’élèverai l'enfant comme si c'était celui d’Arthur. » Non. Non. Non je n'étais pas d'accord. Mes joues se mirent à rougirent de colère.
« Hors de question ! Hors de question que Arthur élève mon fils ! » « Tu n'avais qu'à être Roi, Lancelot. » Je restais bouche bée alors qu'elle quittait ma petite demeure et qu'elle partit. Cela m'estomaquait. C'était bas comme coup. Arthur était beau. Arthur était fort. Arthur était ROI. Il ne fallait pas me le dire un million de fois j'avais bien compris. J'étais furieux, en colère et surtout je voyais la chaire de ma chaire partir loin de moi. Alors, dans un élan de colère j'avais pris mes affaires et mon cheval pour galoper dans la nature.