| | Sur un air de rythm'n'blues - LONDON | |
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London Jensen-Stark i walked with you once upon a dream YOU'RE GONNA HEAR ME ROAR Date d'inscription : 18/01/2016 Messages : 186 Points : 103 avatar : Christopher McCrory crédit : angeldust & okinnel. double compte : C'est quoi la chanson ? Esteban...
| ce conte a été posté le Lun 18 Jan - 10:52 |
| London Jensen-Stark Le chat - Le chat botté/Maître Chat | compromised nom(s) ; Jensen-Stark, le nom de sa mère et de son père réunit pour une nouvelle fois. Enfin, le nom de ses parents adoptifs, enfant des rues, orphelin ayant eu de la chance, il se balance au rythme de ses envies et pas selon la famille qui l'a accueillit. prénom(s) ;Il a tellement de prénoms que ça devient difficile de tout mémoriser, il sortait de chaque famille avec un prénom qui ne lui était plus désigné. Sur sa carte d'identité, il y a pourtant ce prénom composé "Sage-London" qu'il raccourcit lui même par "London", parce que le mot "sage" ne lui convient définitivement pas. âge ; 22 ans, la majorité a pris place sur son visage, la maturité beaucoup moins. date et lieu de naissance ; Un treize septembre, enfin, c'est ce qui est écris sur son certificat de naissance, c'est notifié, le lieu de naissance est inconnu, il invente comme ça lui chante. Il semble qu'il soit né en France pourtant, mais il aime prendre la nationalité de son père adoptif, la Russie c'est cool. nationalité(s) ; Ecossais, puisqu'il habite à Portree. origine(s) ; Française, de par sa mère biologique et sans doute un peu polonais, pour la forme. orientation sexuelle ; Une souris est une souris, peu importe son sexe, n'est ce pas ? statut civil ; Célibataire, sortant d'une relation abusive avec son ancien petit-ami, il porte encore les traces de coups sur son corps. statut financier ; Pauvre/Moyen, ça dépend des mois, ça dépend de ce que ses "parents" lui donne pour survivre. occupation ; Tricheur, trouveur d'excuse, monteur d'alibi pour un certain salaire, et étudiant par correspondance en droit. caractère ; Enjoué, manipulateur, sarcastique, hautain, sensible, menteur né, extraverti, joueur, provocateur, souriant, bavard, secret, excellent orateur, ironique, pudique, à tendance dépressif. crédits ; showmeyouricons(avatar), tumblr (gif) |
01.Une cigarette à la bouche à chaque fois qu'il se sent angoissé, une main sur son paquet quand son rythme cardiaque accélère, drogué à la nicotine et la douceur qu'elle lui procure, douce torture. 02. Une main dans ses cheveux quand ses joues rosissent, une main dans ses cheveux quand le froid se fait ressentir, une main dans ses cheveux quand une conversation gênante montre le bout de son nez et s'insinue dans des paroles. 03. Sortant d'une relation abusive, les gestes il les évitent comme la peste, un mouvement trop près de lui et il se bloque, ses yeux devenant brumeux, son visage pâlissant maladivement, un phobique du touché.04. Des tatouages, des écarteurs, une extravagance qu'il n'affiche pas, qu'il cache sous des vêtements amples, des traces d'un passé troublé et d'un avenir totalement incertain. 05. Sourire, charmeur, entendu, ironique, triste, troublé, psychopathe, manipulateur. Que des sourires sur son visage de marbre, des sourires qui sont des masques ou seulement l'expression de ses sentiments les plus voyants. 06. Café, chaque matin le même, ou un chocolat chaud, une dose de boisson fumante avant de se mettre au travail, avant d'affronter une vie qui ne le satisfait qu'à moitié, un café avant d'affronté la vie. quel objet qui te relis à ton ancienne vie ; Un vieux sac, synonyme de ton ancienne vie, celui que ton ancien maître t'as offert, dans cette vie, très peu pour toi les bottes. Ce sac te rappels des souvenirs confus que tu ne saurais décrire, une odeur, un visage, un paysage, rien de plus dans ta tête, tu ne saurais pas décrire, c'est une impression souvent. quel est ton dernier souvenir de l'autre monde ;Ce souvenir il est flou, dans ta tête c'est comme si ça sonnait creux, tu te souviens d'un trône, tu te souviens de servants, tu ne te souviens de rien du plus, ni de ton apparence, ni d'autres choses, c'est confus mais c'est immense à la fois, c'est ça, ton dernier souvenir. raconte moi rapidement ton histoire dans l'autre monde ;C'est l'histoire d'un vieux meunier (mourant) qui offrit un chat à son dernier fils, ce chat, était doté de paroles, son maître voulait en premier lieu le manger, mais il était un peu idiot, donc le chat, voulant rendre la vie meilleure à son maître chercha à le rendre riche, il rencontra des gens, les suppliants de dire au roi que les terres sur lesquels ils étaient étaient la propriété du Marquis de Carabas, sauf, que ces terres appartenait à un ogre qui était un ennemi du chat. Le chat, au tout début de l'histoire, quémanda des bottes et un sac à son maître qui lui donna, il apporta les faveurs du roi à son jeune maître en offrant divers cadeaux au roi. Mais vain le moment ou le roi voulut voir la demeure du marquis. Le chat, alla donc voir l'ogre, qui avait un don de métamorphose, l'ogre se transforma en lion, ce qui fit peur au chat, ensuite, vaillant, le chat demanda à l'ogre de se transformer en souris pour prouver ses pouvoirs au chat. Et bam. L'ogre fût croqué, le jeune meunier devint marquis et épousa la princesse et le chat devint seigneur. (le résumé du personne pourra ensuite se trouver dans le bottin des contes) pseudo; Circé âge ; 15 ans, bientôt 16, fin, dans 9 mois quoi. où as-tu trouvé le forum ; BAZZART + FACEBOOK tes impression dessus ; . avatar ; Christopher McCrory une dernière chose à dire ; code à remplir ; - Code:
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<div class="fct1"><t>christopher mccrory ;</t> london jensen-stark</div>
Dernière édition par London Jensen-Stark le Lun 18 Jan - 20:20, édité 8 fois |
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London Jensen-Stark i walked with you once upon a dream YOU'RE GONNA HEAR ME ROAR Date d'inscription : 18/01/2016 Messages : 186 Points : 103 avatar : Christopher McCrory crédit : angeldust & okinnel. double compte : C'est quoi la chanson ? Esteban...
| ce conte a été posté le Lun 18 Jan - 10:53 |
| everyone has a story Sa vie, c'est Rémi-sans-Famille et Les Misérables en 98 mots. « Fais-moi l’amour sur du Pink Floyd... » Et c’est comme si l’océan déchaîné était de nouveau dans tes orbes, c’est comme si tes lèvres murmurais une prière. T’as toujours été comme ça, volage, extravagant, la tête dans le ciel et les larmes dans la mer, deux parties de toi, toujours la même vieille musique que joue ton cœur quand j’ai l’oreille posée sur ton torse. Une guitare acoustique joue dans ton corps et une voix guide tes pas, conscience que tu croyais ne pas avoir quand tu as accepté ce jeu. Les remords, ta voix brisée, glacée parfois quand elle s’adresse à moi. On ne s’aime pas, je ne sais pas si tu m’as déjà aimé un jour ou si tu faisais semblant, parce que tu es le roi de la jungle, le menteur, le fourbe, le démon. Tes pupilles n’expriment souvent que du mépris pour les autres, et la tristesse est invisible dans ces flots, ton âme est un marécage et on s’y enfonce tellement aisément, parce que c’est un honneur d’être blessé par toi. Certains diront que je suis fou, je leur répondrai que c’est de toi, parce que tu es le corbeau, le côté obscur de la lune, l’étoile qui brille peu et qui pourtant se voit de loin. Tu es une infinité de choses, parfois on se demande si tu es vivant, parfois je regarde les photos de tes parents et je me demande s’ils seraient fiers de toi, et toi tu me pousses, me faisant lâcher ce cadre, un air de rage encré à tes traits. Si je le pouvais je t’attacherais à ce lit avec des milliers de néons, pour que ce soit la seule lumière qui t’éclaires, parce que sous la piste, parcourus de lumière, tu es encore plus magnifique. Pourtant, je refuse, je ne te touche pas, je ne t’embrasse pas, je me contente d’écouté la symphonie de ton être, parce que je sais très bien que ça va recommencer, que je vais te faire du mal, et que le courage que tu avais va s’envoler. Je sais que je t’aime, mais je sais aussi que je te tue. Tu as encore les traces de la dernière fois où j’ai perdu le contrôle sur le torse, ta lèvre inférieur ouverte et un bleu sur la joue. Peut-être que c’est de ta faute ? Peut-être que c’est toi et ton air supérieur qui me font perdre le contrôle ? C’est moi au fond qui te blesse, pas l’inverse. Je me souviens, au début, ton sourire doux, il a bien souvent laissé place à des lèvres ensanglantés et une bouche remplis de sang. J’aurais beau m’excuser, je sais que je te laisserais toujours un goût amer dans la bouche, je te laisserais des remords et des regrets, je ne sais pas si j’arrêterais un jour de t’accuser de me tromper avec ton ancien demi-frère, parce que tu le détestes comme tu me détestes, pourtant, il y a une différence, la tristesse dans tes yeux quand tu le regardes, comme si tu te noyais dans son cœur abyssale. Je me souviens du bien que ça m’a fait, quand je t’ai vu au sol, suppliant, j’avais laissé la fenêtre de ta chambre ouverte, juste pour qu’il te regarde souffrir et qu’il sache que tu étais à moi. Tes yeux larmoyants, ta belle gueule en sang, tes yeux qui semblaient lui hurlé de partir, de ne pas te regarder, tu ne voulais pas avoir l’air encore plus misérable à ses yeux, encore plus pathétique. J’avais beau blessé ton corps, je n’ai pas réussi à avoir ton cœur, et je l’envie, ce bougre, ce blond, ton « demi-frère », parce qu’il t’a volé quelque chose que je voulais. Ton âme. Je me souviens de tes traits tirés quand ta mère t’a avoué qu’elle t’avait adopté, quand elle t’a donné ce cadre que tu as brisé, je me souviens de ton air supérieur et de ton cœur en morceaux. Pathétique. « Fais-moi l’amour sur du Pink Floyd… » Et bébé, si seulement c’était à moi que tu parlais dans tes moments de folies et de doutes, si seulement tu m’aimais un peu plus que pas du tout. Je ne sais pas, j’me suis égaré trop longtemps dans tes yeux et ça m’a rendu fou, fou de toi, de l’amour, fou de colère et de rage, parce que tu ne fais pas sortir le meilleur de quelqu’un, tu fais ressortir le pire. T’es comme un poison qui s’ancre dans les veines, parce que tu mords, tout le monde et n’importe qui, tu t’en fiches, t’es un serpent venimeux, marchand de mort. Et je me rappelle aussi de ce visage, tes yeux affrontant les miens dans une bataille que je perdais d'avance, et ce coup de poing dans ma mâchoire, tes tremblements faisant vibrer mon cœur à la manière d'une musique obscène, parce qu'obscène tu l'étais. Pathétique aussi. Une biche entre mes griffes de lions, cherchant à assouvir un pouvoir que tu n'avais pas, que tu n'aurais jamais. Tes cotes bleuies, tes yeux noirs de colère, ta lèvre en sang, lui, de l'autre côté de la baie vitrée, et toi, prêt à pousser ton dernier souffle entre mes mains. Je ne sais combien de temps tu es resté avec la trace de strangulation sur le cou, combien de temps tu n'as pas pu parler avec une voix normale. Et moi hein ? Combien de fois j'ai voulu te prendre la bouche et te faire crier de douleur ? Tu ne sais pas combien c'est difficile pour moi London. Tu ne sais pas combien c'est horrible de ne pas pouvoir faire de toi un pantin. Et ce spectateur, derrière la vitre, tu as toujours eu une affection mal placée pour lui, alors qu'il ne faisait rien en te voyant souffrir, tu tombes amoureux d'une personne de ton espèce, un lâche qui te ressemble, et c'est cette haine que j'ai dans le ventre que je te vois, comparer à l'amour. Et ces pulsions veulent que tu meures, d'autres que tu souffres, et une autre veut que tu restes dans mes bras pour des années encore. Pourtant tu souffres chéri, moins depuis que je suis dans ce cachot, tu sais, ils m'appellent "maniac" ou "psychopathe", toi tu ne m'appelles pas, tu essaies de m'oublier, et tu feras comment quand je sortirais mon adonis ? Qu'est-ce que tu feras quand ton souffle se bloquera dans ta gorge et que tes yeux pleureront à ne plus en pouvoir ? À ce moment je me délecterai encore plus de ta souffrance, et tu le sais mon amour. Tu le sais. Lettre à Sage-London Jensen-Stark.
Du prisonnier n°3845 : Matthéoti Johnson.
Dernière édition par London Jensen-Stark le Lun 18 Jan - 21:23, édité 3 fois |
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Percy Calloway i walked with you once upon a dream Date d'inscription : 20/08/2015 Messages : 151 Points : 0 avatar : grant gustin crédit : heart attack double compte : arthur grenwood (lancelot) et harper jefferson (absolem)
| ce conte a été posté le Lun 18 Jan - 12:05 |
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Blythe Nightingale i walked with you once upon a dream where is my mind Date d'inscription : 23/08/2015 Messages : 226 Points : 123 avatar : emily browning crédit : aurélie (avatar), pathos (signature), make-the-red-queen.tumblr (gifs) double compte : moïra riddell, la banshee qui s'ennuie à mourir dans sa morgue
| ce conte a été posté le Lun 18 Jan - 15:05 |
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London Jensen-Stark i walked with you once upon a dream YOU'RE GONNA HEAR ME ROAR Date d'inscription : 18/01/2016 Messages : 186 Points : 103 avatar : Christopher McCrory crédit : angeldust & okinnel. double compte : C'est quoi la chanson ? Esteban...
| ce conte a été posté le Lun 18 Jan - 17:51 |
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Arthur Grenwood i walked with you once upon a dream Date d'inscription : 23/08/2015 Messages : 110 Points : 0 avatar : taron egerton crédit : primbird & tumblr double compte : percy calloway, le marchand de sable et harper jefferson la chenille bleue.
| ce conte a été posté le Lun 18 Jan - 20:30 |
| tu es validé! welcome in our world Non mais il est chtarbé le prisonnier sérieux J'ai adoré lire ta fiche! une belle plume Te voici à présent validé(e)! C'est cool, c'est fun tu vas t'éclater ! Alors à présent tu peux faire des scénarios si besoin ou encore des pré-liens. N'oublie pas de demander un logement parce qu'entre nous dormir dehors c'est pas le top! Et aussi référence ton métier comme ça tout le monde sait ce que tu fais! N'oublie pas non plus de référencer ton personnage de conte. Et enfin, tu peux te faire pleins d'amis ou d'ennemis dans la partie lien. Amuse-toi, passe un bon moment avec nous |
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